Transports collectifs, automobiles, scooters, vélos, trottinettes ... La mobilité électrique s'installe. Mais des incertitudes existent sur les orientations et sur les modalités de son développement : impacts sur le réseau électrique, diversité et lieux de recharge, coûts financiers et environnementaux, types de véhicules, comportements ...
Y aller ou pas ? Et pourtant
« Ça y est. C'est écrit dans la loi mobilité en cours de discussion au parlement. La France interdira la vente des véhicules thermiques {essence ou diesel} en 2040. Pour les remplacer, le véhicule électrique fait office de favori. Or, les différents volets de son bilan environnemental interrogent. Surtout qu'il existe des pistes de réflexion pour l'améliorer». {Florence Roussel, rédactrice en chef d'Actu-Environnement, juin 2019}
À la suite d'une présentation de l'état de la question l'objectif est d'ouvrir une discussion. Non de la conclure ...
Cette rencontre est proposé par Michel Teule, sociologue praticien et professeur associé à l'école Polytech et Monica Beltrao architecte et paysagiste, tous deux membres du collectif AUTRES (Action Urbaine Transition Environnementale et Sociétale).
Elle entre dans une démarche conduite avec Aix Marseille Université (Faculté d'économie et de gestion et POLYTECH) pour la Région Sud. L'objectif est d'interroger les possibilités de favoriser et de quelles façons, la mobilité électrique dans notre région, ainsi que le développement de réseaux de recharge et où, associée ou non à des productions d'énergies renouvelables.
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